Pleine lune, nouvelle lune et la ménopause : une connexion intime avec mon corps.
- Geraldine
- 14 mars
- 6 min de lecture
Dernière mise à jour : 10 avr.
Aujourd'hui, je souhaite partager avec vous une réflexion très personnelle, une observation intime qui m'a profondément marquée et qui, je l'espère, résonnera avec certaines d'entre vous.
Il s'agit de mon lien, pour le moins surprenant, avec les phases de la lune, et comment cette connexion semble s'intensifier depuis que je suis entrée dans cette nouvelle étape de ma vie : la ménopause.
Une découverte troublante : les effets lunaires sur mon corps
Depuis que mes cycles menstruels ont cessé, j'ai commencé à remarquer des effets étranges, presque inexplicables, à chaque pleine lune et à chaque nouvelle lune.
Des insomnies tenaces, des vertiges soudains, un stress qui monte sans raison apparente…
Au début, je n'y prêtais guère attention. Je me disais que c'était peut-être le stress de la vie quotidienne, ou simplement les aléas de l'âge.
Mais au fil du temps, les coïncidences sont devenues trop frappantes pour être ignorées.
Je me suis alors posé des questions :
Et si la lune continuait d'influencer mon corps, même après la fin de mes cycles menstruels ?
Et si cette force mystérieuse, qui a rythmé tant d'aspects de ma vie de femme, ne m'avait pas encore tout à fait quittée ?
En creusant la question, j'ai découvert des coïncidences troublantes, non seulement dans ma propre naissance, mais aussi dans celles de mes enfants et petits-enfants.
Je vous invite à plonger avec moi dans cette exploration de mon expérience, et de ce que j'ai appris en observant cette connexion intime entre la lune et mon corps.
La lune et le corps féminin : une influence méconnue, mais bien réelle.
Pleine lune, nouvelle lune et la ménopause :
Une synchronisation naturelle avec les cycles lunaires. Depuis la nuit des temps, la lune est associée aux cycles féminins. Avec son cycle d'environ 29,5 jours, elle suit un rythme étonnamment similaire à celui des menstruations. Dans les traditions anciennes, on pensait que les femmes qui avaient leurs règles lors de la nouvelle lune et ovulaient à la pleine lune suivaient un "cycle blanc", tandis que celles qui avaient leurs règles à la pleine lune vivaient un "cycle rouge".
Bien que les études scientifiques modernes ne confirment pas une synchronisation systématique, il est indéniable que beaucoup de femmes ressentent une influence subtile, mais bien réelle, de la lune sur leur corps et leurs émotions.
Cette influence peut se manifester par des variations d'humeur, des changements dans le sommeil, ou même des sensations physiques particulières.
Cette connexion entre la lune et le corps féminin est un sujet qui mérite d'être exploré et compris.
La lune après la ménopause : un impact toujours présent ?
On pourrait penser qu'après la ménopause, cette connexion disparaîtrait naturellement.
Après tout, les cycles menstruels sont terminés, et la lune ne semble plus avoir de raison d'influencer notre corps.
Pourtant, mon expérience personnelle et les témoignages de nombreuses autres femmes suggèrent le contraire. Certaines d'entre nous continuent de ressentir des variations d'énergie, des changements émotionnels, et même des symptômes physiques en fonction des phases lunaires. Insomnie, nervosité, fatigue intense…
Beaucoup témoignent de troubles qui coïncident avec la pleine lune ou la nouvelle lune.
Le site The Belly Lab aborde également ce sujet, soulignant que cette influence lunaire post-ménopause est une réalité pour de nombreuses femmes.
Mon expérience personnelle : . Une naissance sous le signe de la nouvelle lune.
Je suis née un jour de nouvelle lune, le 2 janvier 1965.
Pendant des années, ce détail est resté anodin, une simple information sur ma carte d'identité. Mais il a pris une toute autre importance quand j'ai commencé à observer les effets des cycles lunaires sur mon bien-être.
À chaque nouvelle lune, je ressens une intensification de certains symptômes :
Troubles du sommeil : Insomnies persistantes, parfois accompagnées de cauchemars étranges et vivaces.
Vertiges et sensations de flottement : Une sensation de déséquilibre sans raison apparente, comme si je perdais pied avec la réalité.
Augmentation du stress : Un état d'anxiété amplifié, sans événement déclencheur précis, comme si une vague d'angoisse me submergeait.
Petit à petit, j'ai réalisé que ces ressentis n'étaient pas aléatoires.
Ils revenaient chaque mois, avec une régularité troublante. Et certaines nouvelles lunes semblaient plus intenses que d'autres, comme si l'influence de l'astre nocturne était particulièrement forte à ces moments-là.
Un héritage lunaire transmis à mes enfants
En poussant mes recherches, j'ai découvert que mes trois filles sont également nées en lien avec le premier quartier lunaire :
Ma première fille (4 mai 1991) : Premier quartier le 7 mai 1991.
Ma seconde fille (27 juillet 1993) : Premier quartier le 26 juillet 1993.
Ma troisième fille (1er mars 2005) : Premier quartier le 3 mars 2005.
Cette coïncidence m'a interpellée.
Était ce un simple hasard, ou nos naissances suivaient elles un schéma dicté par la lune ?
Avions-nous, sans le savoir, hérité d'une sensibilité particulière aux cycles lunaires ?
Mes petits-enfants et la lune : une transmission sur plusieurs générations
Mais le plus troublant restait à venir. J'ai découvert que mes petits-enfants sont eux aussi nés à des moments clés du cycle lunaire :
Deux d'entre eux sont nés deux jours avant le premier quartier.
Le troisième est né le jour même de la nouvelle lune, tout comme moi.
Et le plus fascinant, c'est que pour le troisième, j'ai eu la chance d'assister à l'accouchement et j'ai eu cet honneur de couper le cordon ombilical.
Ce geste, profondément symbolique, m'a bouleversée. Était ce un simple hasard, une coïncidence amusante ?
Ou bien un cycle qui se perpétue au fil des générations, un lien invisible qui nous relie à la lune ?
Alors pourquoi certaines lunes m'affectent plus que d'autres ?
Si la lune agit sur moi, pourquoi certaines phases sont-elles plus intenses que d'autres ?
Pourquoi certaines nouvelles lunes me bouleversent elles plus que d'autres ? Il y a t'il une mémoire corporelle et émotionnelle?
Je pense que chaque nouvelle lune réactive inconsciemment la mémoire de ma propre naissance. "Ce fut un accouchement difficile, nécessitant l'utilisation de forceps, et ma mère en a gardé un souvenir douloureux."
Peut-être que mon corps et mon esprit revivent cette épreuve traumatique à chaque nouvelle lune, d'où ces symptômes amplifiés. Peut-être que cette mémoire cellulaire, enfouie au plus profond de moi, se réveille à chaque fois que la lune est à son point le plus sombre.
Une sensibilité lunaire personnelle.
Chaque personne réagit différemment aux cycles lunaires. Certaines ressentent une énergie décuplée à la pleine lune, d'autres, comme moi, sont plus affectées par la nouvelle lune.
Cette sensibilité peut être liée à notre propre histoire, à nos expériences passées, voire à un lien plus profond entre notre corps et les rythmes naturels. Peut-être que certaines d'entre nous sont plus connectées à la lune, plus réceptives à ses vibrations subtiles.
Les preuves scientifiques sur le sommeil et la lune
Les troubles du sommeil en lien avec la pleine lune ont été étudiés
scientifiquement.
Une étude menée par l'Université de Bâle a montré que, même dans une pièce sans accès à la lumière extérieure, les participants mettaient plus de temps à s'endormir et dormaient moins profondément lors de la pleine lune.
Si la pleine lune influence le sommeil, pourquoi la nouvelle lune ne le ferait-elle pas également ? Pourquoi cette phase sombre, mystérieuse, ne pourrait-elle pas avoir un impact sur notre corps et notre esprit ?
Si, comme moi, vous ressentez des effets liés aux phases lunaires, voici quelques conseils pour mieux les appréhender :
Observer et noter vos ressentis : Tenir un journal pour repérer les cycles et comprendre à quelles phases lunaires vous êtes la plus sensible.
Créer des rituels adaptés : Méditation, bains chauds, exercices de respiration peuvent aider à atténuer les troubles liés à la lune.
Accepter plutôt que lutter : Savoir que ces variations sont naturelles permet de mieux les vivre et de ne pas se sentir impuissante face à elles.
Adapter son sommeil : Réduire les écrans le soir, créer une ambiance apaisante pour atténuer l’impact des lunes difficiles.
Conclusion :
Une connexion lunaire qui traverse les générations ?
Mon parcours m’a montré que la lune joue un rôle dans ma vie bien au-delà de mes cycles menstruels.
De ma naissance sous la nouvelle lune aux accouchements de mes enfants et petits-enfants, les coïncidences sont trop nombreuses pour être ignorées.
Si la lune influence mon corps et mes émotions, elle agit peut-être aussi sur d’autres femmes en silence.
La ménopause ne signifie pas la fin de cette connexion, bien au contraire. Elle marque le début d’une nouvelle phase où nous pouvons écouter ces signaux et vivre en harmonie avec eux.
Je voulais donc partager, avec vous, mon expérience et mes ressentis.
Peut être que certaines d'entre vous se sentiront concernées, d'autres pas, mais pour ma part la preuve en est, la lune m'influencerait physiologiquement.
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